Découverte de différences entre les sexes dans l'évolution de la polyarthrite rhumatoïde

La dopamine influence l'immunité

27.10.2022 - Allemagne

La polyarthrite rhumatoïde (PR) est une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation chronique des articulations qui entraîne une déficience fonctionnelle chez de nombreux malades. Il existe des différences spécifiques au sexe dans l'apparition et le développement de cette maladie. Des chercheurs du Centre de recherche Leibniz sur l'environnement de travail et les facteurs humains de Dortmund (IfADo) ont donc examiné le rôle du neurotransmetteur dopamine dans la polyarthrite rhumatoïde en tenant compte des différences entre les sexes. Les résultats indiquent des différences spécifiques au sexe dans la voie de signalisation régulée par la dopamine dans les cellules B, la dopamine pouvant même avoir un effet pro-inflammatoire chez les femmes.

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Le groupe du Prof. Dr Silvia Capellino a identifié l'implication de la voie de signalisation régulée par la dopamine dans les cellules B. Cette influence sur les cellules immunitaires des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) est très importante. Cette influence sur les cellules immunitaires des patients atteints de PR est spécifique au sexe. La bifurcation observée de la voie de signalisation régulée par la dopamine entre les hommes et les femmes atteints de PR peut être utilisée pour des approches thérapeutiques chez les femmes à l'avenir.

L'influence de la dopamine sur certaines cellules du système immunitaire, et donc sur l'évolution et le développement de la polyarthrite rhumatoïde, mise en évidence dans les études, est en corrélation avec la durée de la maladie et l'incapacité fonctionnelle chez les femmes atteintes de PR. Sur la base de ces résultats, un marqueur de diagnostic peut être utilisé chez les femmes.

La dopamine influence l'immunité

Les femmes sont plus souvent atteintes de polyarthrite rhumatoïde que les hommes. Non seulement la fréquence, mais aussi l'évolution de la maladie diffèrent entre les hommes et les femmes. Une explication possible de ce phénomène est le rôle différent des hormones sexuelles dans les réactions immunitaires. Les œstrogènes peuvent influencer directement le système immunitaire et entraînent généralement une inflammation.

Le système immunitaire peut être influencé par le système nerveux et les neurotransmetteurs. La dopamine est un neurotransmetteur qui joue un rôle important non seulement dans le cerveau mais aussi dans tout le corps. Des découvertes récentes montrent que les voies de signalisation contrôlées par la dopamine jouent également un rôle clé dans la modification de l'immunité. Il est donc possible que la dopamine influence non seulement directement le système immunitaire, mais aussi que les œstrogènes puissent modifier les voies de signalisation contrôlées par la dopamine, ce qui a également une influence sur le système immunitaire. La manière dont cela fonctionne exactement est actuellement examinée dans un projet de suivi.

Contexte : Les cellules B

Les cellules B font partie des globules blancs et constituent, avec les cellules T, la partie adaptative du système immunitaire, c'est-à-dire celle qui peut s'adapter à de nouveaux agents pathogènes. S'ils sont activés par des antigènes étrangers, ils se transforment en plasmocytes producteurs d'anticorps et en cellules mémoires capables d'empêcher l'apparition d'une infection si elles entrent à nouveau en contact avec le même antigène.

Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.

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